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Suzanne Maugein
administration / production
Nathalie Vautrin
diffusion / production / communication / actions culturelles
Le Football : Jeu et Enjeux, en présence du journaliste Hervé Mathoux
Pierre Rigal a été invité par le Théâtre national de la danse-Chaillot à imaginer une journée complète d’éducation artistique et culturelle autour de la thématique « art et sport » dans le cadre du projet Chaillot Olympique. 150 élèves issus de trois académies de la région parisienne se déplaceront à Chaillot pour assister à un extrait du spectacle Arrêts de Jeu, participer à des débats, des ateliers de pratique, visionner un documentaire...
Ce programme a vocation d’être proposé sur tout le territoire national, départements ultramarins compris. Il inclut des élèves à besoins éducatifs particuliers.
Chaillot olympique : Le Football... jeux et enjeux avec Pierre Rigal- Compagnie Dernière Minute from Théâtre de Chaillot on Vimeo.
Les lectures dansées avec Mélanie Chartreux
Ces rendez-vous dansés initiés par Nadia Imoussaïne de l’Atelier danse de l’Espace Saint-Cyprien à Toulouse, sont de nouvelles formes animées à destination des plus petits. Mélanie Chartreux accompagne les mots de musique et de mouvements dansés pour éveiller les sens. Entre ses mains, le livre devient objet à manipuler, objet mobile, compagnon de cheminement ou déclencheur de trajectoire. Donner à voir et à entendre des textes de la littérature jeunesse, pour regarder le monde, apprendre la différence, vaincre ses peurs...
Dans le cadre de By Pass - Forum de la création musicale #5, le Studio Eole a mis en lumières le travail de François Bayle, l’un des derniers grands témoins et acteurs des révolutions musicales du XXe siècle. La semaine qui lui a été consacrée a été construite autour de la Nuit Acousmatique proposée à Odyssud le lundi 4 novembre 2019. Deux oeuvres majeures de son répertoire y furent présentées : Divine comédie et le Projet Ouïr, en création mondiale. Pierre Rigal a pris part à ce projet avec l’IsdaT pour mettre en scène 18 étudiants danseurs et proposer une version chorégraphiée de la Divine comédie, dirigée par François Bayle aux commandes de l’acousmonium de l’Ina-GRM, véritable orchestre de haut-parleurs.
Programme :
Purgatoire, Paradis terrestre d’après la Divine Comédie de Dante
Le Projet « Ouïr », scène de la vie de l’écoute
Musique François Bayle / Acousmonium de l’Ina-GRM, direction du son François Bayle
Chorégraphie Pierre Rigal avec 18 danseurs du cycle supérieur de l’IsdaT Création lumières Christophe Bergon
Plus d’informations :
https://www.odyssud.com/nuit-acousmatique
https://www.studio-eole.com
La Nuit Acousmatique / François Bayle from Odyssud on Vimeo.
Un spectacle de Pierre Rigal pour les étudiants en DNSP1 de l’Ecole nationale des arts du cirque de Rosny-sous-Bois
"Les artistes de cirque sont des personnes persévérantes… pour ne pas dire obsessionnelles ou têtues. Ils passent des heures, des jours, des années à inventer inlassablement des mouvements automatiques du corps et à développer des réflexes de l’esprit. Et ce, avec un objectif, maitriser au mieux un support d’expression que l’on appelle un agrès. Ces trapèzes, cordes, tissus, trampolines, tapis de sol… deviennent alors des compagnons de vie.
Le spectacle Agréable s’amuse donc à questionner littéralement la place de ces étranges objets auxquels ils se marient pour le meilleur et pour le pire… dans l’attente de nouvelles surprises, de nouveaux plaisirs. Qu’est-ce qui est agréable ? Pour une artiste de cirque, la question n’a pas le même sens que pour le quidam…"
Valoriser le travail des jeunes danseuses et danseurs, tel est l’objectif fixé par l’Adami pour son opération Talents Adami Danse 2018. Cette expérience unique est l’occasion de collaborer avec des artistes de renom, désireux de transmettre leur savoir. L’édition 2018 a été dirigé par deux chorégraphes aux esthétiques et aux univers éloignés : Béatrice Massin et Pierre Rigal. Ensemble ils ont imaginé un spectacle composé de leurs deux créations.
Fugue de Pierre Rigal
" Une fugue musicale est pour moi une sorte de paradoxe temporel. En effet dans une fugue, la mélodie à venir se compose progressivement par accumulation de fragments mélodiques du passé. Dit autrement, reculer permet d’avancer. J’ai donc choisi de jouer mécaniquement avec cette apparente contradiction et cette tournure passionnante de l’esprit. Ainsi dans cette pièce de danse, les allers-retours et les avant-arrières s’emmêlent donc les uns dans les autres. Mais plus généralement, une fugue est aussi pour moi une échappée. En terme de mouvement, il est donc inspirant de voir ce que créé un individu qui fuit. Il provoque un vide actif, une absence dynamique qui va entrainer une réaction en chaine du groupe duquel il décide de s’extraire. Les danseurs de cette pièce sont des personnages qui se rencontrent peut-être pour la première fois, ils apprennent à se connaître, à inventer des signes et des langages. Embarqués les uns avec les autres, ils traversent une ville moderne, sonore et absurde. Ils peuvent s’y perdre et sans le savoir, revenir là où ils sont déjà passés. Et dans ce voyage collectif, une question s’impose vite à eux. Vaut-il mieux suivre le groupe et se fondre dans la masse ou vaut-il mieux s’extirper pour prendre ses distances avec les autres ? "
Chorégraphie Pierre Rigal
Interprétation Karine Dahouindji, Alizée Duvernois, Marion Jousseaume, Damien Sengulen, Anaïs Vignon
Musique originale Gwenaël Drapeau, Julien Lepreux
Collaboration artistique Mélanie Chartreux
Lumières Evelyne Rubert
Conseil artistique Pedro Pauwels
Production ADAMI
Avec l’aide de la Place de la Danse – CDCN Toulouse / Occitanie (prêts d’espaces)
Microréalité est un groupe de trans-rock atypique, composé de 4 performers multi-instrumentistes, acteurs et danseurs : Mélanie Chartreux, Gwen Drapeau, Julien Lepreux et le metteur en scène toulousain Pierre Rigal. Inspiré par les sonorités hybrides des plateaux de danse, le groupe a développé une musique protéiforme qui a voyagé sur les scènes chorégraphiques des 5 continents (Séoul, New York, Hong-Kong, Genève…). Après une résidence de 3 semaines au Metronum en avril 2018, le groupe a livré son premier concert lors de la « Carte Blanche » offerte à Pierre Rigal le 18 octobre 2018. Les chansons en français de Microréalité s’emparent d’un dub langoureux pour se tordre peu à peu vers un punk fantomatique. À la recherche d’un désir perdu de la réalité…
Carte blanche # Pierre Rigal au Metronum
BIENVENUE DANS LA RÉALITÉ !
AVEC JOAN CAMBON (FR) & MALIK DJOUDI + MICRORÉALITÉ (FR) + NAKHANE (ZA) + NIHIL BORDURES (FR) + EXPO-PHOTO
Le Metronum, scène des musiques actuelles de la Ville de Toulouse a développé un cycle de programmation avec les soirées Cartes Blanches consacrées à des artistes non musiciens mais dont la musique est omniprésente dans leur travail artistique. Pierre Rigal a assuré en 2018 la seconde édition pour une soirée éclectique, mêlant musique, danse et performance. Il a souhaité inviter à cette occasion des artistes avec qui il collabore depuis plusieurs années pour ses créations. D’abord, le musicien Joan Cambon (cofondateur d’Arca), compositeur des musiques des spectacles érection et Salut, avec le chanteur Malik Djoudi. Puis le groupe de trans-rock Microréalité présenta son premier album dans un show inédit. Les 3 acolytes ont signé les musiques de plusieurs spectacles, dont Scandale, Même et le plus récent Merveille. Ils ont ensuite fait place au nouveau roi de la scène indie rock, le Sud-Africain Nakhane, révélation solaire des Trans Musicales 2017. Avant de finir en dansant sur le mix électro-poétique du DJ et performer Nihil Bordures, compositeur des musiques de Press et Standards. Une installation photo-photographique de Pierre Rigal intitulée Bienvenue dans la réalité a également été exposée dans l’enceinte du Metronum.
Soulèvement : Action de soulever. Mouvement de l’écorce terrestre. Mouvement d’indignation. Mouvement de révolte.
A la suite d’une masterclass de 6 jours (33h), Pierre Rigal propose de créer avec les étudiants de l’ISDAT en danse contemporaine de Toulouse, une courte pièce de danse.
Dans ce travail, Pierre Rigal met en scène une forme d’exagération généralisée des rapports sociaux. Des retrouvailles entre amies semblent se démultiplier à l’infini... Comme pour retenir le couvercle d’une cocotte minute humaine qui ne demande qu’à exploser.
Les 11 danseuses mêlent voix et mouvements du corps pour avancer inexorablement vers leur objectif, l’action et le soulèvement par enchevêtrement et engrenages corporels.
La compagnie a été sollicitée par l’Association Amalgam de Merville (31) pour reprendre un extrait du spectacle Standards par la Cie K-Libre, un groupe de 9 jeunes danseurs amateurs âgés de 14 à 19 ans. Ce projet a pu voir le jour grâce au dispositif Danse en amateur et répertoire mis en place par le Centre National de la Danse afin de les accompagner dans une démarche d’accès au répertoire et à la culture chorégraphique. Pour travailler sur l’extrait du spectacle, les jeunes danseurs ont répété 40 heures avec l’équipe artistique, principalement au Studio de la compagnie. Le groupe a assisté notamment aux représentations de deux autres pièces hip-hop crées par Pierre Rigal : Asphalte et Scandale . Enfin l’extrait du spectacle Standards a été présenté aux Rencontres nationales le samedi 26 mai 2018 au Théâtre Ledoux à la scène nationale de Besançon.
Avec : Thomas Aigon, Dimitri Boyer, Isaia Clerc, Erwan Ecorchard, Martin Lagrange, Luigi Pappalardo, Harry Sait, Jalil Seddiki, Mateo Souillard
Intervenants de la compagnie : Pierre Rigal (chorégraphe), Mélanie Chartreux (assistante artistique), Camille Regneault (danseuse-interprète), Julien Saint-Maximin (danseur-interprète)
Coordination du projet - Répétitrice Association Amalgam : Marie Dessaux
Dans le cadre de sa mission pour le Centre de Développement Chorégraphique National de Toulouse-Occitanie, Pierre Rigal lui a donné un nouveau nom : La Place de la Danse. Pour ouvrir cette nouvelle saison, il a imaginé et co-organisé avec Corinne Gaillard, directrice du CDCN, le Jour de la Danse, qui s’est tenu le Samedi 30 septembre 2017 en plein coeur de Toulouse.
Samedi 30 septembre 2017
Programme :
Gameboy de Sylvain Huc
Giga Barre de Kader Belarbi - Ballet du Capitole
Walking the line de Benjamin Vandewalle
Bodies in urban spaces de Willi Dorner
En coréalisation avec ARTO - Saison itinérante et Festival de Rue de Ramonville
Un projet pour la Maison de la Culture de Bourges dans le cadre des Scènes détournées
Les gens inondent le plateau… Une dizaine de micros s’échangent de main à main et chacun essaye de raconter quelque chose. Ça peut être une simple présentation de soi-même comme une conversation entre plusieurs être-humains évoquant des banalités, des souvenirs, des revendications, des conflits… Toutes ces voix seront ingurgitées en direct puis incisées, fragmentées, digérées par une machine sur un coin du plateau. Cette machine de dissection à laquelle tous les micros sont reliés est contrôlée par des musiciens. Progressivement, ils ajouteront aux témoignages des artéfacts vocaux :
Pendant qu’une personne parle, on pourra entendre se superposer la voix d’une autre personne, créant ainsi une confusion des sources, des timbres mais aussi des idées. Ensuite ce sont les mots qui pourront se mettre en boucle comme des obsessions répétées qui envahiront la conversation. Et enfin des syllabes, qui feront bégayer les voix jusqu’au paroxysme. Cette cacophonie épileptique ne durera qu’un temps. Le temps que les boucles s’organisent, se synchronisent et s’accordent pour faire naître la musicalité. A cette musique de bruits et de mots s’ajoutera progressivement la musique des vrais instruments : guitares, claviers, batterie etc… Puis le texte d’une chanson, porté par les chœurs. A l’unisson, en canon, en réponse. La musique répétitive prendra le dessus sur les corps comme une transe, créant des mouvements de foule et de la danse. Les chœurs seront chantés en boucle jusqu’à se diviser, se déconstruire pour redevenir de simples mots ou conversations d’individus : échanges, chuchotements, balbutiements… Les corps en sueur redeviendront mécaniques, hésitants puis immobiles. Tout ce cycle pourra se répéter et chaque boucle ne sera jamais vraiment la même.
Julien Lepreux
Avec Mélanie Chartreux, Malik Djoudi, Gwenaël Drapeau, Julien Lepreux et Pierre Rigal
Solo de danse de Pierre Rigal
Avec Mélanie Chartreux, lauréate de la 3ème édition des Rencontres Talents Danse Adami.
Création le 18 octobre 2008 au Moulin du Roc à Niort dans le cadre du festival Les Eclats Chorégraphiques et Talents danse Adami
Que serai-je ? Cette question qui hante régulièrement nos pensées, d’enfant, d’adolescent, d’adulte résonne comme un espoir impatient dans l’avenir, une quête d’idéal mais aussi et surtout comme une inquiétante interrogation.
Que serai-je serai-je, solo de danse chanté, contient déjà dans son titre les hésitations et les doutes qu’engendre la question initiale. Il met en scène un personnage, une jeune fille, moulée dans le stéréotype, le sourire plein du rêve naïf de la perfection. Pourtant cette danse sera celle d’une désillusion ; la poupée de chair, d’os et d’espoir vacillera comme le diamant sur un vinyle rayé. Ceci, non sans combattre les doutes, les soubresauts et les convulsions de cette image du corps qui perd tout à la fois, pied et face.
chorégraphie Pierre Rigal
interprète Mélanie Chartreux
Musique Que sera sera de Jay Livingston et Ray Evans, reprise par Pink Martini et adaptée par Pierre Rigal
Production compagnie dernière minute, Gate Theatre London,
avec le soutien Théâtre Garonne - Toulouse et de la DRAC Midi-Pyrénées
Installation dite « photo-photographique »
« Les corps artificiels, statues, mannequins, automates, androïdes ont toujours troublés les hommes : c’est à la lettre un mythe. » Roland Barthes.
Sous les lumières intermittentes de nos vitrines, les mannequins observent les passants. Spectres d’une consommation effrénée, ces fantômes rêvent de déchirer nos propres reflets. Humains, plus qu’humains, monstres, plus que monstres, ils s’effritent, ils se tordent, ils se retiennent de gémir. Nos cadavres sont à vendre.
Parce qu’il n’y a rien de plus commun que le néon pour éclairer les étales commerciales modernes, Pierre Rigal met en scène ces figures spectrales, à la lumière d’une série de tubes clignotant aléatoirement. Un concert de lumières et de sons… A la recherche d’une poétique du trivial mercantile.
Pierre Rigal
Mise en lumière et en espace de l’objet photographique par Pierre Rigal avec la collaboration de Frédéric Stoll
Créée le 22 juin 2007 au Théâtre national de Toulouse dans le cadre de la manifestation Comme un été
Production compagnie dernière minute avec le soutien du Théâtre national de Toulouse
Coréalisation le hub, plate forme d’expériences / artishoc / studio watoo
My shadow is not dark ! est une intervention
Création le 15 octobre 2005 au Centre des Arts à Enghien-les-Bains
Il s’agit d’une lecture scénique mettant en scène quatorze personnes qui, lors d’un stage de 2 jours ont investi le dispositif scénographique et vidéograpique que je leur proposais.
My shadow is not dark ! met en valeur les décalages et les détournements qui peuvent exister entre une chose en soi et son apparence. Le texte qui fait l’objet de cette lecture a été écrit en 1977 par Grisédilis Réal. Il est disponible dans « carnet de bal d’une courtisane » aux éditions Verticales.
Pierre Rigal. 14 mars 2006
Conception Pierre Rigal
Avec la collaboration de Enora Rivière
Régie vidéo George Dyson
Avec Virginie Azzarello, Fabienne Barry, Elodie Begards, Lorie Bellanger, Cathy Chassang, Brigitte Clerc, Delphine Devez, Clarisse Forestier, Marie Guillam, Charlotte Ravary, Hélène Risterrucci, Thierry Schalck, Julie Syras, Valérie Torroja
Production compagnie dernière minute
Avec le soutien du Centre des Arts à Enghien les Bains, du DICREAM, d’Arcadi et de la Scène nationale de Sénart